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17 octobre 2008 5 17 /10 /octobre /2008 16:13

Je ne sais pas vous, mais moi dans certaines soirées je vis de grands moments de solitude quand je suis pris au milieu d'une secte professionnelle.

 

Kezako la secte professionnelle?

 

Ce sont des gens qui font le même job ou qui travaillent dans le même secteur et qui n'en sortent jamais de ce putain de secteur.

 

En fait, le phénomène de secte professionnelle, il touche plus certains métiers que d'autres.

 

Parmi les sectes professionnelles les plus gonflantes, il y a la secte des profs.

 

Malheur à celui qui pénètre dans une soirée de profs et qui n'est pas prof.

Il va se sentir seul assez vite, je te le dis.


Ben oui, j'ai expérimenté le truc.


Je me suis vite transformé en "Mawie-Théwèse" qui fait passer les cacahuètes, qui sert à boire et qui contrôle la cuisson du poulet toutes les cinq minutes pour se donner une contenance.

 

Ce qui est fou dans une secte professionnelle, c'est que les gens ils se reproduisent entre eux, ils se marient entre eux, voire ils se trompent entre eux!

 

Alors dans une secte des profs, il y a beaucoup de chance pour que les gens soient :

 

- fils/fille de profs

- frères/sœurs de profs

- épouse/époux de prof

- meilleur(es) ami(es) de prof
 

Et le plus dingue, c'est que certain coche toutes les cases.

 

Le prof, comme il est dans une secte et qu'il a le cerveau tout "profisé", il te commente le reste des problématiques de l'Humanité uniquement à travers sa petite expérience de prof.

 

La crise financière, le réchauffement de la planète, l'émergence des pays en voie de développement, la construction européenne et ben tout ça, le prof il te l'étudie et te le commente à travers sa lorgnette de prof de français de la 4ème D de Cergy-Pontoise.

 

Les profs ils ont aussi une langue commune à leur secte sinon le monde extérieur risquerait de les comprendre.

Et ça je te prie de croire que ça foutrait pas mal en l'air leur concept de secte fermée.

Par exemple, quand un prof de CP apprend à lire l'heure aux élèves, tu crois pas qu'il va leur dire "les enfants, aujourd'hui, on va apprendre à lire l'heure"...

Ben nan.

Ils risqueraient de comprendre les cons!

Nan, ils disent "aujourd'hui, les enfants, nous allons faire du repérage dans l'espace et le temps".

Tu penses que les gamins ils repèrent quelquechose, ils savent plus où ils habitent oui!

Bon, il y a quand même un truc qui ne colle pas niveau secte. La secte des profs elle n'est pas comme les autres, elle est en rébellion permanente contre son ministre de l'Éducation Nationale gourou.

 

Ca gueule toujours que le gourou il fait rien de bien. Le prof a l'impression d'être super rebelle en disant ça mais il ne se rend pas compte qu'il dit tout pareil que les autres.


D'où la secte.


Ils ont tous le même discours : le manque de moyen / l'absence de considération / les programmes trop chargés / les parents irresponsables…………….

Ils se foutent de la gueule du gourou en permanence. Vas-y que ça lance des blagues sur internet, que ça manifeste, que ça bloque les classes…

 

Le prof il se croit toujours super malin et il prend toujours son gourou pour un gros con.

 

Dans une soirée de profs, donc, le grand jeu, c'est de se foutre de la gueule du gourou.

Une fois que tu as fait ça, tu te plains de tes conditions de travail.

Et une fois que tu as fait ça, tu peux commencer à te foutre de la gueule de tes élèves et de leurs parents.

Après, tu vas te coucher.

 

Et le lendemain, au boulot, tu recommences.

 

Et là, c'est le drame du circuit fermé.

 

Après une journée de boulot de prof, le prof il rentre chez lui retrouver sa femme prof pour se raconter des histoires de profs, avant d'aller dîner chez des amis profs pour parler de la vie des profs.

 

 

Moi, englué dans ma soirée de profs, je me faisais bien chier je peux vous le dire.

 

J'ai attendu une question genre "et toi que fais-tu dans la vie?"

 

Je pouvais attendre longtemps.

 

En même temps, une fois, y'en a un qui m'a demandé.

A la réponse j'ai bien vu que son logiciel a eu comme un bug.

Il avait les yeux dans le vide, tu sentais que son cerveau moulinait dans le vide.

Il n'avait plus rien à dire, il n'avait rien pour se raccrocher.

Aussi perplexe que devant une soucoupe volante.


Ca le mettait en face d'une réalité traumatisante : il y a un ailleurs.

 

Du coup, pour le relancer, je lui ai posé une question de profs.

 

Ca allait mieux.

 

Alors, du coup, j'ai écouté en prenant l'air hyper concerné, j'ai fait des "hen heeen", des "ah ouais?!", des "c'est dingue cette histoire", des "c'est clair, des "c'est n'importe quoi" (ça c'est quand ça parle du gourou) et puis parfois aussi des "ah oui, je vois".

 

Tu adaptes tes expressions de visage en fonction du monologue, tu rigoles quand ça se moque du gourou, tu prends l'air grave et constipé quand ça parle manque de moyens, tu fronces les sourcils quand ça parle pédagogie et puis tu passes les cacahuètes un coup pour te détendre le cerveau.

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8 octobre 2008 3 08 /10 /octobre /2008 11:17

Vous connaissez le fichier Edvige?


A côté de Facebook c'est du pipi de souris anorexique!..


Sur Facebook, tu peux vivre de vrais, grands moments de solitude...
Facebook, c'est comme un grand terrain de jeu pour la connerie humaine...
 

Sur Face book, tu peux mettre ta vie en vitrine ou même pire on peut la mettre en vitrine à l'insu de ton plein gré...

 

Sur Facebook, en une heure, tu peux retrouver tous les boulets que tu as réussi à semer ces trente dernières années…

 

Sur Facebook tu peux voir des photos de ton ex en vacances aux caraïbes en train de rouler des pelles à son nouveau copain...

 

Sur Facebook, tu peux aussi voir qu'une autre ex est toujours scotchée à sa vie de merde, et la tu ressens un vieux plaisir malsain : ça te rassure!...

 

Sur Facebook, tu peux aussi bien adhérer à un groupe qui milite pour le retour de Groquick sur les paquets de Nesquick, que l'arrêt de la guerre en Irak...

 

Sur Facebook, sur une même liste de contact, ta grand-mère peut se retrouver à côté de Vanessa, une fille tronchée rencontrée en boîte la veille...

 

Sur Facebook, on s'en fout pas mal que tu aies des relations vraies et profondes avec tes ami(e)s : faut faire du chiffre bordel! A moins de 100 amis, t'es un handicapé social...

 

Sur Facebook, ton employeur peut mater des photos de toi en train de gerber dans les toilettes d'une boîte sordide...

 

Sur Facebook, tu peux mater des profils de gens que tu ne connais pas juste pour assouvir un besoin malsain de voyeurisme primaire...

 

Sur Facebook, tu peux te la péter en énumérant le nombre de pays que tu as visité, même si tu as fait une escale d'une heure à l'aéroport de Moscou tu peux griser la Russie toute entière sur ta carte.

 

Sur Facebook, même si t'es un vieux tromblon tu peux mettre une photo de toi où, avec un jeu savant de lumière/maquillage/effet, tu ressembles à top-modèle... 

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22 septembre 2008 1 22 /09 /septembre /2008 10:50

Vous vous souvenez tous de Papy panthère qui avait du mal à retrouver un comportement normal en ces temps de rentrée...

Et bien voilà, ça recommence!!!

La preuve en image :



Comment ça c'est flou??


C'est qu'il va drôlement vite Papy-panthère...!

C'est qu'il se prendrait pour une vraie panthère ou bien??

Bon, vous l'aurez compris, ces derniers temps, je n'arrête pas de croiser Papy-panthère...

Le plus affreux, c'est que la dernière fois, en descendant de chez moi, il m'attendait en bas... l'air de rien, nonchalement avec sa canne de traviole, son sac en plastique dégeu et sa tenue de star hollywoodienne...

Le truc normal, quoi!...

Bon, je marche vite, me faufile à travers les rues et parvient à semer Papy Panthère...

Quand soudain : 



Moi, ça commence à m'angoisser cette histoire...
J'ai l'impression de le voir partout, qu'il me suit, d'être le seul à être perturbé par sa tenue de reine du dancefloor...

Bref, Papy-Panthère... : Le Mystère.

Si quelqu'un a l'explication, merci de l'indiquer en commentaire!
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18 septembre 2008 4 18 /09 /septembre /2008 10:55

 Le premier mascara avec une brosse vibrante. Nouveau TurboLashMascara mouvement multi-effets. Laissez la brosse prendre soin de vos cils.

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2 septembre 2008 2 02 /09 /septembre /2008 13:40

Coucou me revoilou!

De retour pour vous faire partager tous ces moments de solitude...
Cependant, j'ai décidé d'élargir un peu le propos du Blog...

Ici, ça va causer "moments de solitude" au quotidien... ceux du coin de la rue, les honteux, les bizarres, les malsains...
Pour inaugurer cette nouvelle saison de MDS, je voudrais parler de la solitude de la rentrée...

La fin des vacances a sonné... et pour certains, c'est un véritable traumatisme!!!

Impossible de reprendre le doux chemin du quotidien...

Impossible de se remettre sur les rails encore chauds de la routine...

Impossible de retrouver les petits réflexes de tous les jours...

Et là, c'est le dérapage, l'accident, le pétage de plombs de la rentrée!

Tout de suite une illustration sous vos yeux ébahis : Papy-Panthère.


Qu'en dîtes vous?

Papy a tout du Papy : la canne, le duo chausettes/chaussure, le dos courbé, la démarche hésitante...

Mais Papy a également TOUT du gars qui nous fait une crise de rentrée!!! Il a piqué le haut panthère de Dalida, il a osé le mini short de Béyoncé...

Bref, Papi va pas bien.

Du tout.

Du tout. Du tout. Du tout. Du tout.

Il n'arrive plus à passer la deuxième, il est resté bloqué sur ses vacances à Ibiza ou à Mykonos...

Je dis donc attention à tous au terrible pétage de plomb de la rentrée...

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1 avril 2008 2 01 /04 /avril /2008 17:25

La honte parfois, vous la subissez par l'intermédiaire de quelqu'un...

Un ami un peu boulet que vous ramenez dans une soirée…

Un vieux cousin qui pourrit les repas de famille avec ses blagues de cul pas drôles qui défrisent mamie…

Ou alors, une nouvelle copine que vous ne connaissez pas encore trop et que vous ramenez à un dîner entre amis…

Vous savez, le genre de filles sur qui on tombe en période de famine sentimentale intense, de grève du slip éternellement reconduite ou de transformation progressive en Père Abbé d'un monastère traditionnaliste…

… croisée au hasard d'une cucaracha party en discothèque… rencontrée sur un réseau de rencontre par internet ou… choisie parmi les petites stagiaires écervelées du boulot…

Bref, des rencontres qu'on aurait du éviter, des jours où on aurait du rester à la maison à regarder des conneries à la télé (mais qui a parlé de Confessions Intimes??).

En l'occurrence, la demoiselle, je la rencontre en boîte de nuit (pas de commentaires!). Archi bourré version "personne ne m'aime/ je vais mourir seul/ on mettra un mois à signaler ma disparition/ j'aurais pourri sur place dans mon appartement", je décide donc de tenter l'opération de la dernière chance pour me sortir du célibat et je commence à engager la conversation avec une jeune fille qui me semble sympathique.

Honnêtement, j'ai peu de souvenir de cette discussion. Cela explique peut être la suite... Tout ce que je sais, c'est que pour une première expérience de drague en boîte, le résultat est là : je repars avec son numéro de téléphone. Elle s'appelle Amandine.

On se revoit deux jours plus tard. On discute un petit peu, je la trouve fraîche, amusante, un peu enfantine comme j'aime. Très rapidement, l'aspect enfantin est passé au second plan pour laisser place à la séquence réservée aux adultes!

Le lendemain, un ami m'appelle pour me proposer de venir dîner chez lui et sa compagne avec quelques amis d'École. Je connais bien cet ami et je connais encore mieux le type de soirée qu'il me propose. La dernière fois, j'étais le seul célibataire au milieu de trois couples. Dans ce genre de situation, vous rentrez chez vous à moitié révolté de constater que des gens même débiles, même affreux, mêmes insignifiants parviennent à connaître les joies de la vie de couple

Évidemment, j'attends qu'il me dise la phrase fétiche :

"Tu peux amener quelqu'un, si tu veux!"

  Or, rien ne vient, si ce n'est :

"J'imagine que tu viendras seul?"
Là, j'avoue que je suis un peu piqué au vif. Je m'enferme dans le rôle de l'éternel célibataire, le mec incapable de vivre un truc un peu construit avec quelqu'un, et je n'aime pas trop cette idée!

Alors, je me surprends à lui répondre :

"Et bien si, je serai accompagné. J'ai rencontré quelqu'un!"

A la fin de ma phrase, je réalise bien la part d'inconscience qu'il m'a fallu pour m'engager comme cela. J'invite à dîner chez des amis (plutôt "classiques" dirons-nous), une fille rencontrée deux jours avant en boîte de nuit alors que j'étais dans un état d'ébriété avancé.

C'est ce qu'on pourrait appeler un pari, un challenge ou plus sobrement une grosse connerie!...

Je propose donc à Amandine qui accepte immédiatement. Malheureusement, elle n'est pas disponible le soir même, histoire de mieux faire connaissance... On doit donc se retrouver juste avant le dîner au bas de l'immeuble de mon ami.

 

L'heure du dîner approche. Je me prépare, pars en voiture et arrive avec quelques minutes d'avance. Amandine est déjà là, emmitouflée dans son manteau. Elle se jette à mon cou, m'embrasse avec insistance, me caresse le cou, bref, elle en fait trop! Beaucoup trop à mon goût en tout cas. J'en profite pour lui dire que mes ami(e)s sont des gens plutôt classiques, ils sont un peu dans le moule du jeune cadre dynamique, version bonne famille de province. Il faut donc qu'elle garde un comportement discret, une attitude à la fois sereine et élégante (genre Carla Bruni, version voyage chez Elizabeth II).

 

Quand on ouvre la porte, je sens la curiosité qui jaillit dans le regard de mes ami(e)s. Amandine commence à enlever son manteau. C'est à ce moment que j'entends sur un ton plutôt ironique :

"Oh, il est sympa ce haut!"

Rien qu'à l'intonation de mon ami, j'ai compris le second degré. Je ne le sais pas encore mais cette phrase sonne le signal du début du déclenchement de la catastrophe.

Amandine se retourne souriante et j'aperçois alors son tee-shirt…

Pour se l'imaginer, il faut visualiser une sorte de matière en véritable boule à facette sur laquelle on aurait écrit en énorme avec un stylo à paillettes fuchsia "Sexy Girl".

Le premier tee-shirt qui peut tuer instantanément les épileptiques et les clients de Cyrillus.

En fait, dès ce moment là, j'aurais du m'enfuir, partir loin et faire une croix sur ces amis... Hélas, je suis resté.

La discussion commence. Amandine reste plutôt muette et je préfère ça. Je me demande comment j'ai pu me mettre tout seul dans une situation comme celle-là. Une fille qui met un tee-shirt pareil pour un premier dîner chez des amis ne peut être normale.

Apéro. Passage à table. Pour l'instant, à part le tee-shirt, tout va bien!

Puis la conversation vire sur les États-Unis. Le voyage aux États-Unis d'un jeune couple invité comme nous, la Californie… la bouffe… la culture américaine… la politique américaine...

C'est alors qu'Amandine décide courageusement de sortir de son mutisme. Elle lance :

"Leur Président Georges Bûche, déjà, c'est du n'importe quoi!"

Silence total... général... radical…

Je suis limite en crise de tétanie...

Mon ami reprend :

"C'est marrant ça, comment tu prononces Georges Bush?

Et Amandine lancée comme un bolide sans frein qui fonce droit dans un mur
"Ben, Georges Bûche, c'est bien un U, non?"

 Je m'interpose, déjà blasé...

"Oui, mais ça se prononce "Ou" : Georges Bush"


Comment expliquer que cette fille ne sache pas prononcer correctement le nom du président américain?

a- c'est une grande intellectuelle qui n'écoute ni la radio, ni la télévision mais qui lit beaucoup la presse et, naïvement, prononce Bush à la française.

b- c'est un robot envoyé par les Martiens pour envahir la planète Terre et elle est en plein bug informatique.

c- elle est à moitié débile et il faut simuler une gastro foudroyante pour quitter le dîner sur le champ.

d- c'est une sombre conne et le seul moyen d'arrêter l'humiliation qu'elle me fait subir est de lui planter un couteau dans le dos.

Gentiment, un des invités poursuit la conversation sur la guerre en Irak. Je jette un regard noir à Amandine qui ne paraît pas particulièrement gênée. Mon ami me lance un regard amusé, je lui souris l'air un peu complètement désespéré.

Le dîner se poursuit, dès qu'Amandine tente de parler, je parle fort pour l'interrompre et éviter une nouvelle catastrophe. Je bois un peu pour faire passer ce grand moment de solitude. Puis, forcément, je baisse la garde. Et pendant 15 minutes, nous assistons à un véritable festival de connerie en barre.

On évoque le chômage. Amandine suggère de réformer la SPA pour mieux traiter les chômeurs.

"Tu veux pas plutôt parler de l'ANPE?"

Et puis, toujours avec cette incroyable façon de s'enferrer avec insistance dans le ridicule.

"Mais non, je parle bien de la SPA, tu sais le truc où tu vas quand tu cherches du boulot"

 On parle de l'Afrique du Sud.

"Il paraît qu'en fait, il fait super froid en Afrique du Sud, alors que, pourtant, c'est situé au Sud".

"Euh, tu ne confonds pas avec le Pôle Sud???"

 J'en passe et des meilleurs, un véritable prix Nobel de la bêtise et de l'inculture.

 

Et puis, vient le moment du départ. Je suis abattu, j'ai passé une affreuse soirée. Je veux simplement mettre un terme à l'humiliation que me fait subir "Sexy Girl".

 Mon ami lui lance avant de partir :

"Et au fait, comment vous vous êtes rencontrés?"

 Amandine, décidément très en forme en fin de soirée, commence :

"Ben, en fait, je vais tous les samedis soirs en boîte (ça commence déjà très fort et très classe!) et samedi dernier, je suis tombé sur lui et ça a été un vrai coup de foudre mutuel".

 Je n'ai même plus la force de répondre et de corriger ses propos en précisant que :

- j'avais trois grammes d'alcool dans le sang...

- que j'avais un coup de blues à déprimer Annie Cordy...
- que j'avais juste besoin de compagnie, un chat aurait fait l'affaire, mais sur une piste de boîte de nuit, un chat, c'est moyen trouvable...

- qu'il n'y a jamais eu de coup de foudre à part dans son cerveau déglingué...

- que je vais quitter cette fille dans les cinq minutes qui suivent...

 

Je remercie mes amis pour ce délicieux dîner et tourne les talons.

Au bas de l'immeuble, je dis rapidement au revoir (Adieu) à Amandine qui me lance :
"Ca va, j'ai pas dit trop de bêtises?"

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